Débuter le changement aujourd'hui ! Voir la vie autrement

Comment je suis sorti du bocal

[Cet article a été lu par 2 197 internautes depuis sa mise en ligne. Merci d'être là.]

Un premier pas simple

Je m’en suis rendu compte il y a peu, mais les choses ont commencé pour moi il y a un an environ, par une prise de décision toute simple : un régime. Par chance, il ne s’agissait pas d’une obligation médicale, juste d’une volonté ferme de ma part, j’avais l’impression d’avoir trop mangé, et mal mangé pendant assez longtemps. J’avais évidemment quelques kilos à perdre en conséquence, mais il s’agissait alors plus d’un moyen de vérifier la progression de mon action plutôt que d’un but en soi. Les choses étaient simples dans ma tête, j’avais envie de faire mieux, j’avais envie de mieux.
J’ai donc commencé à suivre ce régime, et pour cela, j’ai nivelé par le haut la sélection des aliments que je pouvais manger, et leur préparation. Je me suis documenté. J’ai surtout du organiser et contrôler les moments des repas. Facile quand on est chez soi, mais tout de suite plus difficile quand on se retrouve dans la famille, chez des amis, en repas d’affaires. Il faut prévoir les choses pour soi, mais aussi (surtout?) rassurer et convaincre les personnes autour.
Cela aura été la 1ère action « en dehors du bocal » : je devenais plus exigeant, et j’ai vite constaté les difficultés et la mise à l’écart que cela engendre. Rassurez vous, je ne parle pas d’une mise au ban de la société, mais simplement que les choses ne sont pas organisées pour les personnes qui sortent du standard : on vous laisse un peu à coté, à vous de vous prendre en main. Mais c’est réellement bénéfique, car ce qui semblait être au départ une « mise à l’écart », ‘est transformée progressivement en un sentiment beaucoup plus agréable…la liberté.

Un pas en avant, pour prendre du recul

Ce régime s’est en fait révélé comme une prise de recul par rapport à toutes ces actions de la vie quotidienne que je faisais tous les jours sans y penser. La question a fini par prendre place dans mon cerveau : et si on faisait les choses bien, plutôt que de les faire passivement? Et évidemment, il y a la fierté de prendre les choses en main, et d’y arriver. Le contrôle de sa vie.
Je ne pensais pas qu’une action aussi commune puisse me satisfaire à ce point, mais cela a réellement été le début des changements.
 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *